En réponse à :
Lors des entretiens menés dans le cadre « du diagnostic partagé » du DSU, beaucoup d’habitants ont exprimé « leur raz le bol des actions d’éducation à la santé, notamment autour de l’alimentation, jugées stigmatisantes et culpabilisantes » explique l’enquêtrice Anne-Laurent Becq. Pourtant la mauvaise hygiène de vie et son corollaire de maladies : hypertension, diabète… font des ravages au Mirail.
« Quand j’ai commencé à travailler dans le quartier et que les contrôles de glycémie atteignaient les 2 grammes (...)