En réponse à :
1. Il faut le respect de l’ouvrier : c’est le point essentiel, autour duquel tout se noue. Quand dans un pays la police peut venir sur un chantier, dans une entreprise… pour arrêter des gens qui travaillent parce qu’ils travaillent, ça veut dire que le travail ne vaut rien pour l’état. On le voit aujourd’hui : que ce soit le travail des ouvriers sans-papiers, celui des employés, des enseignants, des paysans, des ingénieurs … pour l’état, les personnes qui le fournissent ne valent rien, ils ne comptent (...)