Les avocats des chômeurs ont plaidé le 19 avril devant le TGI de Toulouse pour défendre les chômeurs qui ont vu leurs droits recalculés à la baisse en ce début d’année. C’est une rupture unilatérale de contrat de la part des ASSEDIC et ils espèrent bien que le juge va leur donner raison comme à Marseille.
Pour les chômeurs « recalculés » de Toulouse, mardi 1er juin, verdict du Tribunal de Grande Instance, place du Parlement.
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